Kescape : What's up ?

20 juin 2023

Si vous suivez l’actualité Agaetis plus besoin de vous présenter notre projet interne : Kescape, l’escape game pour Kube lovers ! Depuis maintenant plus d’un an, nous y consacrons une grande partie de nos lundis afin de faire avancer le projet, le voir  prendre de l’ampleur est donc une vraie satisfaction et le fruit d’un travail d’équipe !

Il y a d’ailleurs un an on vous parlait de l’origine de ce projet, comment nous avions décidé de nous organiser pour le développer mais aussi nos attentes. Alors un an après cette interview, il est temps de faire le point et de vous partager où nous en sommes mais aussi ce qu’il nous reste à faire, car ce n’est jamais terminé ! 

Quoi de neuf ? 

Beaucoup de choses peuvent arriver en un peu plus d’un an et Kescape n’a pas échappé à la règle ! Le projet a évolué au fil de cette dernière année, l’équipe aussi tout comme la date de sortie d’une première version… 1 an de retard, on pourra dire que l’on a fait durer le suspense mais ça y est, Kescape est disponible !

Après avoir agrandi l’équipe avec deux nouvelles personnes sur le projet, nous sommes maintenant 5 à y consacrer une partie de nos lundis : quatre développeurs et une graphiste. 

La quantité de rooms a elle aussi augmenté, désormais au nombre de six, ce sont une quinzaine de joueurs qui ont pu s’y frotter mais aussi trois candidats qui s’y sont risqués, dont Moussa, premier embauché grâce à la “méthode Kescape” et qui participe maintenant à son développement ! Est-ce qu’on peut dire “Mission accomplie” ? Techniquement oui mais chez Agaetis on aime les challenges et on compte pousser ce produit le plus loin possible ! 

Pour le mo ment (et bien pour le moment !) nous en sommes à 3 repos Github, des centaines de lignes de code, une application web à la place du compagnon Slack originel et surtout des feedbacks qui font plaisir ! Mais ce qui a surtout marqué cette année c’est notre participation aux Kubernetes Community Days à Paris en Mars dernier ! Notre sélection pour participer à cette conférence nous a vraiment motivés à continuer d’avancer et d’approfondir le projet. C’était également la preuve que le travail que nous avions pu faire intéressait et intriguait la communauté Kubernetes ! Nous avons d’ailleurs profité de cet événement pour annoncer officiellement l’ouverture des inscriptions à Kescape. Nous avons pu échanger avec des gens passionnés et passionnants autour de sujets qui nous tiennent à cœur, le partage d’expériences est toujours bon à prendre !
D’ailleurs si vous voulez revoir notre participation et ainsi en savoir plus sur Kescape et ses aspects techniques, rendez vous juste ici  !

Et maintenant, on fait quoi ?

On aurait aimé vous dire à “court terme on a pour objectif de…” mais on a vu que ça ne nous réussissait pas vraiment… Alors on va juste dire que notre prochain objectif est d’open sourcer le moteur de jeu, ce qui nécessite un refactoring de certaines parties de code.  

On aimerait également décliner le produit Kescape en trois thèmes : 

  • Poursuivre le développement de la partie recrutement qui est notre idée de départ ;
  • Développer une partie formation en poussant à son maximum les animations pour plus de pédagogie 
  • Et enfin enrichir Kescape d’une partie “pur jeu” avec des thématiques immersives et des niveaux de difficultés différents.

Maintenant que nous avons optimisé la consommation des ressources d’infrastructure afin d’accueillir nos nouveaux joueurs, nous aimerions que le projet soit découvert à plus grande échelle. Et pour avoir de nouveaux joueurs et que l’on parle plus de Kescape nous allons réitérer l’expérience conférence. Nous avons soumis le sujet à plusieurs talks et pourquoi pas la Kubecon 2024 à Paris ?

On peut donc dire qu’en un an Kescape a bien avancé, il s’est transformé au fil des événements et des collaborations. Rien de mieux que le partage de connaissances, l’amélioration continue et une équipe du tonnerre pour continuer à faire grandir notre produit. 


Alors, stay tuned pour la suite de Kescape ! 

Ressources Agaetis

par Achats Agaetis 26 novembre 2025
Le contexte du projet : Groupe Aérospatial souhaitait optimiser le temps de contrôle dimensionnel des réservoirs de son lanceur spatial. Les méthodes traditionnelles, longues et peu satisfaisantes, ralentissaient la production et augmentaient les risques d’erreurs. Le besoin était de développer une application de contrôle qualité et dimensionnel intégrant de nouveaux moyens de mesure plus rapides et précis. L’objectifs : L’objectif principal était de concevoir et déployer une application installée sur un PC concentrateur capable de : lancer différents programmes de contrôle dimensionnel, intégrer des technologies de mesure avancées (profilomètres lasers, trackers laser), et améliorer la précision et la répétabilité des contrôles. Durée de mission : Mission de plusieurs mois, de la conception logicielle à la formation des équipes, en passant par l’intégration et les tests. Mise en œuvre : Agaetis a déployé une approche technique et collaborative : Développement de l’application : architecture logicielle adaptée aux besoins d’intégration industrielle. Collecte et traitement des données : intégration des mesures issues des machines à commande numérique, trackers laser et profilomètres. Optimisation des processus : automatisation des contrôles pour gagner en rapidité et réduire les erreurs. Accompagnement & formation : transfert de compétences aux équipes internes pour assurer la continuité. Résultats obtenus : Temps de contrôle réduit : amélioration notable de la productivité. Précision accrue : fiabilisation des mesures grâce à l’intégration de nouvelles technologies. Réduction des erreurs : contrôles plus rapides et répétables. Compétences préservées : maintien de la connaissance technique dans l’organisation. Facteurs clés de succès : Expertise technique d’Agaetis en développement industriel et IoT . Grande flexibilité dans la collaboration avec le client. Intégration fluide des données issues de différents équipements. Approche orientée impact et résultats mesurables. Et vous ? Vous vous interrogez sur : l’optimisation de vos processus de contrôle industriel, l’intégration de nouvelles technologies de mesure, ou la digitalisation de vos applications qualité ? 👉 Contactez nos experts pour moderniser vos contrôles industriels et accroître votre performance opérationnelle.
par David Walter 26 novembre 2025
Directus est-il l’avenir du Low Code ? 1. Comprendre le contexte : le rêve et les limites du Low Code L’essor des outils Low Code et No Code Les solutions no-code visent à simplifier complètement le processus, offrant des interfaces visuelles de type drag&drop, tandis que les plateformes low-code combinent cette simplicité avec la possibilité d’intégrer du code personnalisé pour des besoins plus avancés. Ces outils ont progressivement trouvé leur place dans les entreprises, permettant de créer des POC rapidement ou de moderniser des processus internes simples. Les premiers outils donnant accès à des fonctionnalités de développement simplifiées sont apparus dans les années 90 et début 2000. Mais par leur coût, ils étaient réservés à de grandes entreprises, mais avaient des possibilités limitées et restaient peu scalables. Les outils low code/no code comme nous les connaissons aujourd’hui se sont popularisés au début des années 2010 en réponse à la demande croissante des entreprises pour la digitalisation de processus métiers. Face à la forte demande de développeurs et à la complexité croissante des projets numériques, ces plateformes ont permis à des utilisateurs non techniques de créer des applications, automatiser des workflows et gérer des données sans écrire de code complexe. Quelques chiffres pour comprendre le phénomène Pour évaluer l’impact du no-code en France, examinons quelques statistiques significatives. Entre 2020 et 2025, le no-code est passé d'une tendance émergente à une solution adoptée par une majorité d'entreprises. Une étude réalisée par Hostinger révèle que 71 % des cadres et dirigeants français ont adopté des solutions no-code en 2025 , contre seulement 25 % en 2020. Cette progression illustre une mutation profonde des pratiques numériques. - No-code France : Cette communauté, initié par Contournement en 2019, est passée de 5 000 membres en 2020 à plus de 13 000 en 2025. Elle est la plus grande communauté francophone autour du No-code et regroupe professionnels, freelances et passionnés. - Le SFPN (Société Française des Professionnels du No-code) : Créée en 2020, son but est de fédérer et représenter le No-code au niveau national. Elle organise des événements tels que le Tour de France du No-code et le No-code Summit, et a vu ses adhérents tripler pour atteindre 1 500 membres actifs en 2025. 
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