Soutenir les formations d’ingénieurs

13 septembre 2022

Agaetis a à cœur de soutenir et de favoriser la formation des ingénieurs de demain. C’est un des objectifs que nous avons en commun avec la fondation Sigma ! 


Face aux challenges de l’industrie 4.0 il est primordial que les étudiants de l’école Sigma Clermont soient formés aux enjeux d’innovation à venir. Voilà une des missions principales de la fondation dirigée par Gérard Brunel et présidée par Yves Chapeau. Dans cet article nous avons décidé de faire un focus sur la fondation Sigma, son importance pour le développement d’un bassin technologique clermontois fort et l’ambition d’Agaetis d’y participer. 


Histoire, ancrage, objectifs et réussites, nous avons pu nous entretenir avec le directeur général de l’organisation pour en savoir plus sur les ambitions de la fondation et les enjeux auxquels elle fait face. 


Origines et objectifs de la fondation Sigma  

Conjuguer études et passion

Créée en 1993 sous l’égide de François Michelin et de Valéry Giscard d’Estaing, la fondation Sigma, prolongement de l’IFMA, avait pour but premier de rapprocher le plus possible l’école d’ingénieurs du monde économique. Elle est d’ailleurs reconnue d’utilité publique.


Ayant bien évoluée au fil des années, elle est aujourd’hui présidée par M. Yves Chapeau, co-gérant du groupe Michelin. La fondation compte une cinquantaine de membres : entreprises, collectivités publiques et organismes.


Agaetis en tant qu’entreprise mais aussi des particuliers et parents d’élèves contribuent au développement de la fondation. Il n’y a pas de profil type de membres ou de donateurs. Ce sont toutes les personnes (physiques ou morales) qui ont la volonté de participer à la formation et au développement des ingénieurs de demain. 


“La fondation c’est l'entreprise pour l’école et dans l’école.”

L’objectif principal de la fondation est de développer et renforcer les liens entre le monde industriel, où se réalise les savoir-faire, avec le monde de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, qui élabore les métiers du futur. Pour Gérard Brunel, directeur général de la fondation Sigma Clermont, “la fondation c’est l’entreprise pour l’école et dans l’école”. 

Dans l'école, la fondation facilite les relations avec les entreprises et participe aux contenus des formations en fonction des évolutions technologiques. C’est d’ailleurs dans cette logique d’être au contact des nouvelles orientations que Agaetis est devenu membre de la fondation.

Et pour l’école, car la fondation participe activement à la gouvernance de l’école afin de définir les orientations stratégiques.

La fondation travaille d’ailleurs pour devenir la fondation Clermont-Auvergne INP, suite à l’association des écoles d'ingénieurs, ISIMA, Polytech Clermont avec SIGMA Clermont pour les rapprocher efficacement . 

De l’engagement et le sens du service comme lignes directrices

C’est ce lien très étroit avec le monde économique qui différencie SIGMA des autres écoles d’ingénieurs et de l’université.

Pour Gérard Brunel il était d’ailleurs logique, après 40 ans de carrière chez Michelin, de vouloir apporter son expérience et les connaissances qu’il a pu acquérir aux futurs jeunes ingénieurs pour les approcher efficacement du monde de l'entreprise. 

Un exemple de réussite, qui l’a d’ailleurs marqué, est celui de l’ancien élève Sigma : Aaron Teboul, actuel dirigeant de Clic & Moi. Son engagement et son sens du service l'ont convaincu de le soutenir via la fondation. Il a alors pu réaliser son premier support pédagogique et financier. Aujourd’hui son entreprise fait de très beaux résultats au service d’une cause qui colle aux valeurs de la fondation ! 


Pourquoi se rapprocher d’écoles formant des ingénieurs en génie industriel et mécanique avancée lorsque l’on œuvre dans le domaine du numérique ? 

Avec l'avènement de l'industrie 4.0, numérique et métier de l’industrie sont indissociables. Chez Agaetis nous adressons les industriels qui s'appuient sur le numérique pour améliorer leur productivité, la robustesse de leurs process et accélérer le développement de nouvelles activités.


Dans cette optique, la formation des ingénieurs et l’investissement dans cette formation est primordiale à nos yeux. Le cursus Sigma permet aux futurs ingénieurs de bien comprendre le métier et de pouvoir analyser les projets pour atteindre les objectifs de l’industrie 4.0. 

A ce titre, Agetis est aux côtés de Sigma Clermont comme membre du consortium DIWI (Digital Intelligence Way for Industry Institute) sur le campus du numérique à Lyon; ce dispositif a pour objectif d’acculturer les entreprises et les accompagner vers l’industrie 4.0. 



En conclusion, en tant que PME, il est indispensable d’innover, de penser à l’avenir et de s'entourer de talents, de techniciens, d'ingénieurs formés et engagés dans la réussite de tous les challenges. Pour AGAETIS la proximité avec la fondation SIGMA permet de faire découvrir nos métiers aux futurs ingénieurs de l'école.

Ressources Agaetis

par Achats Agaetis 26 novembre 2025
Le contexte du projet : Groupe Aérospatial souhaitait optimiser le temps de contrôle dimensionnel des réservoirs de son lanceur spatial. Les méthodes traditionnelles, longues et peu satisfaisantes, ralentissaient la production et augmentaient les risques d’erreurs. Le besoin était de développer une application de contrôle qualité et dimensionnel intégrant de nouveaux moyens de mesure plus rapides et précis. L’objectifs : L’objectif principal était de concevoir et déployer une application installée sur un PC concentrateur capable de : lancer différents programmes de contrôle dimensionnel, intégrer des technologies de mesure avancées (profilomètres lasers, trackers laser), et améliorer la précision et la répétabilité des contrôles. Durée de mission : Mission de plusieurs mois, de la conception logicielle à la formation des équipes, en passant par l’intégration et les tests. Mise en œuvre : Agaetis a déployé une approche technique et collaborative : Développement de l’application : architecture logicielle adaptée aux besoins d’intégration industrielle. Collecte et traitement des données : intégration des mesures issues des machines à commande numérique, trackers laser et profilomètres. Optimisation des processus : automatisation des contrôles pour gagner en rapidité et réduire les erreurs. Accompagnement & formation : transfert de compétences aux équipes internes pour assurer la continuité. Résultats obtenus : Temps de contrôle réduit : amélioration notable de la productivité. Précision accrue : fiabilisation des mesures grâce à l’intégration de nouvelles technologies. Réduction des erreurs : contrôles plus rapides et répétables. Compétences préservées : maintien de la connaissance technique dans l’organisation. Facteurs clés de succès : Expertise technique d’Agaetis en développement industriel et IoT . Grande flexibilité dans la collaboration avec le client. Intégration fluide des données issues de différents équipements. Approche orientée impact et résultats mesurables. Et vous ? Vous vous interrogez sur : l’optimisation de vos processus de contrôle industriel, l’intégration de nouvelles technologies de mesure, ou la digitalisation de vos applications qualité ? 👉 Contactez nos experts pour moderniser vos contrôles industriels et accroître votre performance opérationnelle.
par David Walter 26 novembre 2025
Directus est-il l’avenir du Low Code ? 1. Comprendre le contexte : le rêve et les limites du Low Code L’essor des outils Low Code et No Code Les solutions no-code visent à simplifier complètement le processus, offrant des interfaces visuelles de type drag&drop, tandis que les plateformes low-code combinent cette simplicité avec la possibilité d’intégrer du code personnalisé pour des besoins plus avancés. Ces outils ont progressivement trouvé leur place dans les entreprises, permettant de créer des POC rapidement ou de moderniser des processus internes simples. Les premiers outils donnant accès à des fonctionnalités de développement simplifiées sont apparus dans les années 90 et début 2000. Mais par leur coût, ils étaient réservés à de grandes entreprises, mais avaient des possibilités limitées et restaient peu scalables. Les outils low code/no code comme nous les connaissons aujourd’hui se sont popularisés au début des années 2010 en réponse à la demande croissante des entreprises pour la digitalisation de processus métiers. Face à la forte demande de développeurs et à la complexité croissante des projets numériques, ces plateformes ont permis à des utilisateurs non techniques de créer des applications, automatiser des workflows et gérer des données sans écrire de code complexe. Quelques chiffres pour comprendre le phénomène Pour évaluer l’impact du no-code en France, examinons quelques statistiques significatives. Entre 2020 et 2025, le no-code est passé d'une tendance émergente à une solution adoptée par une majorité d'entreprises. Une étude réalisée par Hostinger révèle que 71 % des cadres et dirigeants français ont adopté des solutions no-code en 2025 , contre seulement 25 % en 2020. Cette progression illustre une mutation profonde des pratiques numériques. - No-code France : Cette communauté, initié par Contournement en 2019, est passée de 5 000 membres en 2020 à plus de 13 000 en 2025. Elle est la plus grande communauté francophone autour du No-code et regroupe professionnels, freelances et passionnés. - Le SFPN (Société Française des Professionnels du No-code) : Créée en 2020, son but est de fédérer et représenter le No-code au niveau national. Elle organise des événements tels que le Tour de France du No-code et le No-code Summit, et a vu ses adhérents tripler pour atteindre 1 500 membres actifs en 2025. 
Show More